Description du projet
Viva il caro Sassone !
« Un Allemand vient d’arriver dans la ville, qui est un excellent joueur de clavecin et un compositeur. Aujourd’hui, il a fait montre de son talent en jouant de l’orgue à Saint-Jean-de-Latran à l’admiration de chacun. »
Attiré très jeune par le soleil d’Italie, Haendel effectua un séjour à Rome qui confirma sa passion pour ce pays. Il montra un talent tel qu’il reçu le surnom admiratif et affectueux de « caro Sassone » (cher saxon) de la part de l’élite artistique romaine.
Dans la Ville Eternelle, il fit la rencontre d’illustres aînés tels que Corelli et Scarlatti qui influèrent sur son art. Mais Haendel était déjà lui-même : des œuvres telles que Aci Galatea e Polifemo ou la célèbre cantate Mi palpita il core annoncent déjà l’une des personnalités musicales les plus importantes du XVIIIe siècle.
Patrick Cohën-Akenine
Œuvres de G-F Haendel, Arcangelo Corelli et Alessandro Scarlatti
Distribution
- Maïlys de Villoutreys l Soprano
- Patrick Cohën-Akenine l Violon
- François Poly l Violoncelle
- Béatrice Martin l Clavecin

- Arcangelo Corelli (1653-1713)
Sonate op.V n°5 pour violon et basse continue
- Alessandro Scarlatti (1660-1725)
Il martirio di Santa Cecilia (1708)
Aria : « Quanto invidio quella morte… » - Georg Friedrich Haendel (1685-1759)
Chaconne pour clavecin
- Alessandro Scarlatti
Cantata da Camera
« Dove fuggo ? A che penso ? »
- Georg Friedrich Haendel
Sonate en ré Majeur pour violon et basse continue - Aci, Galatea e Polifemo (1708)
Aria avec clavecin : « Dell’ aquila l’artigli… » - Arcangelo Corelli
La Follia op.V n°12 - Georg Friedrich Haendel
Cantate : « Mi palpita il cor »
Prochaines représentations
Stabat Mater de Pergolèse – Les Arts d’Hélion à Onzain (41)
STABAT MATER Le Stabat Mater est la dernière œuvre que Giovanni Battista Pergolesi (Pergolèse) écrivit en 1736, deux mois avant sa mort. Il a été écrit pour deux voix (traditionnellement soprano et alto, sans doute des castrats), accompagné par […]
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